Des films où l’on vit seul, loin du monde, loin de la foule. Une vie sans relations sociales, sans appartenance à des groupe, sans adhésion à des associations. Zarathoustra dans sa montagne, avec seul compagnon, son aigle et son serpent.
La solitude, on peut en souffrir, la supporter difficilement, essayer de la fuir par tous les moyens. Mais on peut aussi la rechercher, trouver en elle des forces nouvelles, pour affronter avec plus de vigueur et sans concession la société des hommes.
Des films qui nous proposent souvent des portraits de personnages pas comme les autres, excentriques, marginaux, par choix ou par nécessité. Des personnages qui souffrent mais qui ne demandent pas notre pitié. Faire un bout de chemin avec eux, le temps d’un film, c’est essayer de découvrir le sens de la vie.
1974, une partie de campagne. Raymond Depardon. France, 1974, 87 minutes
143, rue du désert. Hassen Ferhani, 2019, 100 minutes.
L’argent ne fait pas le bonheur des pauvres. Manuela Frésil, 2020, 59 minutes.
A bigger splash. Jack Hazan, Royaume-Uni, 1973, 106 minutes
A vendredi, Robinson. Mitra Farahani, 2022, 97 minutes
Le Bonheur… Terre promise, Laurent Hasse, 2011, 94 minutes.

Bonne Nouvelle. Vincent Dieutre, 1981, 60 minutes
Ce répondeur ne prend pas de message, Alain Cavalier, 1978, 65 minutes.
Le choix d’Erik, Robin Hunzinger, 2019, 53 minutes.

Confinés dehors. Julien Goudichaud, 2020, 20 minutes.
De part et d’autre. Matthieu Chatellier, 2022, 78 minutes.
Dormir, dormir dans les pierres. Alexe Poukine, 2013, 74 minutes.
Épouse, fille, mère, Alain Della Negra, Kaori Kinoshita, 2019, 35 minutes
L’Escale de Guinée. Franssou Prenant, 1987, 57 minutes
Existence isolée (Du zi cun zai ; lone existence) de Sha Qing, Chine, 2017, 77 minutes
Flee. Jonas Poher Rasmussen, Danemark, France, Suède, Norvège • 2021 • 90 minutes.
Guyotat en travail. Jacques Kébadian, 2011, 85 minutes.

L’homme qui cherchait son fils. Delphine Deloget, Stéphane Correa, 2020, 76 minutes.
L’Homme sans nom, Wang Bing, Chine, 2009, 92 mn
Honeyland. Tamara Kotevska et Ljubomir Stefanov, Macédoine, 2019
Ici je vais pas mourir. Edie Laconi, Cécile Dumas, 2019, 70 minutes.
Loin de vous j’ai grandi. Marie Dumora, 2021, 104 minutes.
Le Magasin de solitude, François Zabaleta, 2019, 96 minutes.
La maison en plastique. Allison Chhorn, Australie, 2020, 46 minutes.
Le Masque. Johan Van der Keuken. 1989, 52 minutes.
Le Papier ne peut pas envelopper la braise. Rithy Panh. Cambodge, 2007, 108 minutes
Le plain pays, d’Antoine Boutet. 2009, 58 minutes.

Premières solitudes, Claire Simon, 2018, 93 minutes.
Quelle folie, Diego Governatori, 2018, 87 minutes.
Sankara n’est pas mort. Lucie Viver, 2019, 110 minutes.
Sans adieu de Christophe Agou, 2017, 1 H 36
A Shape of Things to Come. Lisa Marie Malloy – J.P. Sniadecki, États-Unis 2020, 83 minutes.
La solitude du chanteur de fond. Chris Marker, 1974, 60 minutes.
Soy libre. Laure Portier, 2021, 78 minutes.

Sous le niveau de la mer, Gianfranco Rosi, Italie, 2008, 119 minutes.
Zeliha’s Hütte. Gabriela Gyr, Suisse, 2020, 44 minutes.
