Décidemment danse et cinéma font toujours bon ménage. Comme ont pu le montrer les grands « classiques » que sont Le Ballet de l’Opéra de Paris de Frederick Wiseman, ou le Pina de Wim Wenders. Mais aussi des films consacrés à des chorégraphes moins connus en France des non – spécialistes, comme l’israélien Ohad Naharin ou l’américaine Anna Halprin. Et puis l’Opéra de Paris est un lieu qui recèle tant de richesses, aussi bien architecturales que culturelles qu’il ne peut qu’attirer les cinéastes (par exemple L’Opéra de Jean-Stéphane Bron), d’autant plus que son histoire récente a été souvent assez mouvementée (comme le montre le film de Thierry Demaizière et Alban Teurlai, Relève : histoire d’une création, à propos de l’épisode Benjamin Millepied
Angelin Preljocaj, danser l’invisible. Florence Platarets, 2019, 52 minutes
Anna Halprin et Rodin. Voyage vers la sensualité. Ruedi Gerber, Suisse, 2015, 62 minutes.
Anna Halprin. Le souffle de la danse. Ruedi Gerber, USA, 2010, 80 minutes.
Cunningham, l’homme qui a réinventé la danse. Alla Kovgan, 2019, 93 minutes.
La Danse. Le ballet de l’Opéra de Paris. Frederick Wiseman, 2009, 159 minutes

Danser sa peine. Valérie Müller, 2019, 60 minutes
De rage et de danse. Stéphane Carrel, 2019, 90 minutes
Dernière danse. François Zabaleta. 2015, 23 minutes
Ecrire le mouvement. Marion Crepel et Bertrand Guerry, 2013, 52 minutes.
Le grand bal. Laetitia Carton, 2018, 89 minutes.
Maguy Marin, L’urgence d’agir. David Manbouch, 2019, 108 minutes.

Maurice Béjart, l’âme de la danse. Henri de Gerlache et Jean de Garrigues 2017, 65 minutes.
Mr Gaga, sur les pas d’Ohad Naharin. Tomer Haymann, 2015, 103 minutes.

Mourad Merzouki, l’alchimiste de la danse. Elise Darblay, 2019, 52 minutes.
Pina. Wim Wenders, 2011, 103 minutes
Relève : histoire d’une création. Thierry Demaizière et Alban Teurlai, 2015, 115 minutes.
Les Rêves dansants sur les pas de Pina Bausch. Anne Linsel et Rainer Hoffmann, 2011, 89 minutes.
Si c’était de l’amour. Patric Chiha, 2020, 82 minutes.